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Blanchiment des dents

Le blanchiment des dents est un sujet souvent abordé, car nous sommes amenés à voir de beaux sourires éclatants sur nos petits et grands écrans. Les dents sont blanches mais avec des habitudes alimentaires, le style de vie (alcool, café, tabac) ou encore l’hygiène bucco dentaire, les dents ont tendance à perdre de leur blancheur. Donc avec le temps, vous aurez envie de retrouver des dents blanches. Et il est possible d’avoir donc des solutions, des produits ou des acteurs qui peuvent accéder à cette demande spécifique.

Bien évidemment nous vous recommandons de demander conseil à votre dentiste. Notez également que certains blanchiments des dents peuvent être pris en charge par les mutuelles.

Blanchiment des dents – Conseils

Il existe également des cabinets dentaires (en France ou à l’étranger) spécialisés dans le blanchiment dentaire. De nombreuses questions sont liées à ces sujets, notamment sur les types de blanchiment des dents disponibles sur le marché.
Cette obsession pour les dents ultra blanches est en grande partie due au nombre de publicité et aux célébrités qui montrent un sourire parfait, des dents blanches et brillantes.

Le blanchiment dentaire ne présente pas de problème s’il est fait sous le contrôle de votre dentiste. Les soucis commencent lorsque le patient s’obstine pour obtenir à chaque fois un blanc plus blanc et commence à faire des blanchiments dentaires à répétition et de toutes sortes. En effet, les dents ne sont jamais vraiment blanches à 100%. C’est alors qu’il peut y avoir des conséquences sur les tissus de soutien des dents et les dents elles-mêmes.
Voici quelques uns des effets indésirables : fractures de l’émail, hyper sensibilité dentaire, lésions pulpaires, translucidité de la dent et ton bleuté de l’émail. Afin d’éviter ce type de problème, il est donc important d’avoir recours à votre dentiste et de faire des blanchiments sous le contrôle de professionnels. Le résultat n’en sera que meilleur et durable dans le temps.

Présentation de deux techniques pour le blanchiment des dents

Voici à titre informatif deux types de blanchiments proposés par des cliniques :

– Un blanchiment dit « chimique » en clinique. Il s’agit de la méthode la plus rapide pour obtenir des dents blanches. Au cours de cette session, les gencives sont protégées minutieusement, puis un gel de puissance progressive est appliqué, dont l’action est renforcée par une lumière LED. Le procédé est sûr et n’altère pas la structure de la dent.

– Un blanchiment à la maison. Cette méthode peut être combinée avec le blanchiment en clinique. Cela permet d’une part d’obtenir un meilleur résultat, et d’autre part d’allonger la durée du blanchiment dans le temps. Des empreintes des dents sont prises, puis une préparation “gouttières individuelles”, adaptée à la dentition de vos deux maxillaires est réalisée. Chaque soir avant de se coucher, vous les remplirez avec un gel blanchissant. Le traitement dure environ 5 nuits. Vous avez également le choix de porter les gouttières dans la journée pendant environ 4 heures de temps.

Certains patients peuvent être plus sensibles au froid durant le traitement. D’autres se plaignent de douleurs aux gencives. Ces symptômes sont temporaires et disparaissent rapidement après la fin du traitement.
Avant tout blanchiment, il est nécessaire de réaliser un nettoyage dentaire professionnel. Le nettoyage ne doit pas avoir été fait plus de 2 mois avant le blanchiment. Parfois, il est possible de faire le nettoyage et le blanchiment durant la même séance, mais cela dépend de chaque cas. Il n’est pas possible de faire de blanchiment sur des gencives irritées.

Ces blanchiments offre généralement un bon résultat esthétique. Toutefois, le blanchiment n’est pas un processus permanent. Les résultats peuvent durer une ou plusieurs années, en fonction des habitudes.  Encore une fois, n’hésitez pas à demander conseil à votre dentiste.

4 choses à savoir sur la graisse abdominale

La graisse de notre corps n’est pas la même partout, elle varie en fonction de la zone où elle se trouve et peut avoir des conséquences plus ou moins importantes sur notre santé. Les dépôts de graisse au niveau de l’abdomen, appelés graisse viscérale ou graisse abdominale, seraient liés à une augmentation des risques de différentes maladies comme le diabète, les troubles du sommeil, les maladies cardiovasculaires et certains cancers. Il ne s’agit pas de la graisse sous-cutanée des poignées d’amour, mais de celle qui se trouve sous les muscles de la paroi abdominale. Voici ce qu’il faut savoir sur ce sujet.

1) Comment identifier la graisse viscérale

Avoir du ventre ne veut pas forcément dire que notre corps stocke de la graisse abdominale (ou viscérale). En effet, si certains critères de tour de taille sont censés nous signaler la présence d’obésité abdominale, ce sont la mesure de la pression artérielle et un bilan lipidique qui permettent d’établir un diagnostic certain.

2) L’impact de la sédentarité sur ce type de graisses

Contrairement à la graisse des jambes et des hanches, la graisse viscérale bénéficie d’un processus de renouvellement très dynamique. Si on ne mange pas suffisamment, elle se réduit beaucoup plus vite que d’autres types de dépôts de graisse. Et elle génère une grande quantité d’énergie lorsqu’on en a besoin. Mais notre rythme de vie sédentaire et notre apport alimentaire souvent excessif l’empêchent de se transformer en énergie, et son effet sur la santé est plus grave que d’autres types de graisses.

3) Se débarrasser de la graisse viscérale

Les experts interrogés en 2017 par le site britannique du Guardian rappellent que la graisse abdominale est relativement facile à « brûler » en pratiquant une demi-heure d’exercice vigoureux chaque jour sans augmenter sa consommation d’aliments, ou en diminuant les portions de nourriture. Les exercices d’abdominaux classiques sont à proscrire car ils ne font qu’aider les muscles à garder la graisse dans la cavité abdominale, mais toute forme d’activité physique est la bienvenue.

4) Elle augmente votre tour de taille… et le risque de démence

Selon une étude publiée en juillet 2021, menée par des chercheurs de l’Université d’Australie-Méridionale, la graisse corporelle nocive peut également augmenter le risque de démence et d’accident vasculaire cérébral.

Les scientifiques ont examiné la matière grise du cerveau d’environ 28 000 personnes. Pour la première fois, ils ont constaté qu’une augmentation de la graisse corporelle entraînait progressivement une atrophie de la matière grise dans le cerveau et, par conséquent, un risque plus élevé de détérioration de sa santé. Les chercheurs ont identifié que dans les groupes d’âge moyen à âgé (37-73) la matière grise du cerveau diminuait de 0,3% pour chaque 1kg/m 2 supplémentaire, ce qui équivaut à un poids supplémentaire de 3 kg pour une personne de taille moyenne (1,73 cm)

« Nous avons constaté que les personnes présentant des niveaux d’obésité plus élevés, en particulier celles présentant des sous-types d’adiposité métaboliquement défavorables et neutres, avaient des niveaux beaucoup plus faibles de matière grise du cerveau« ,  souligne le chercheur principal, le Dr Anwar  Mulugeta. Il précise ne pas avoir trouvé de preuves concluantes pour lier un sous-type d’obésité spécifique à la démence ou à un accident vasculaire cérébral.

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