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Découvrez les bienfaits de la plante chardon-Marie

Histoire et origines de la plante chardon-Marie

La plante chardon-Marie était utilisée ainsi par les Grecs qui l’utilisaient pour le traitement de problèmes de santé hépatiques ou liés à la bile. Ils buvaient ainsi le jus de la plante, souvent mélangé à du miel. Cela éliminait l’excès de bile.
A partir du moyen-âge, la plante était utilisée pour d’autres cas que les situations précédentes : la plante réduisait le sentiment de mélancolie. Néanmoins, son utilisation principale était de réduire les maladies impactant le foie ou la bile.
Depuis son utilisation a été élargie : aussi bien pour l’alimentation (on la cuisine, après avoir retiré ses épines).
Le chardon-Marie stimule le foie et améliore la circulation de bile. On l’utilise également pour le traitement de varices, les troubles menstruels (en cas de règles abondantes), les problèmes de rein ou de vésicule biliaire.

Le nom scientifique est silybum marianum, car le principe actif principal est la silymarine.

La plante, dont la photo est présentée en début d’article, est une plante assez grande, avec des feuilles vertes. Le bord des feuilles contient des pointes épineuses.  La légende a donné le nom à ce chardon de chardon Marie car la Vierge Marie aurait caché Jésus sous un bosquet de chardons, lors d’un voyage en Egypte. Les feuilles de cette plante donnent l’impression qu’elle est maculée de lait : la légende précise que la Vierge aurait donné le sein à Jésus ce qui explique que des gouttes une fois tombée sur les feuilles, lui aurait donné cette spécificité par rapport aux autres chardons.

Bienfaits du Chardon Marie

Le chardon-Marie est utilisé donc principalement pour les maladies du foie ou de bile. Il est également connu contre des maladies digestives, l’OMS lui reconnait un usage contre la dyspepsie (ensemble des symptômes, troubles et douleurs dont l’origine se situerait au niveau de l’estomac et des organes proches).
Le Chardon-Marie contient de la silymarine, qui est une substance hépatoprotectrice puissante. Aussi bien utilisée en prévention qu’en traitement de troubles liés au foie (ainsi utilisé pour les calculs biliaires, les cirrhoses, les hépatites, la jaunisse). Ses vertus sont réellement puissantes puisqu’elles peuvent même régénérer des tissus du foie abîmés, et protéger des toxines le foie.

La plante est également reconnue comme un antioxydant. La plante contient des flavonoïdes, connus comme étant d’important antioxydant.

Le foie est essentiel dans la santé humaine, et on sait par exemple que le foie subit des lésions lors de consommations d’alcool importantes. Le glutathion (GSH) qui lors d’une consommation excessive d’alcool s’épuise. L’antioxydant de la silymarine réduit l’épuisement du GSH dans cette situation et détoxifie le foie. Le chardon limite ainsi l’apparition des lésions hépatiques. Dans ces cas précis, la silymarine va ralentir la progression de la cirrhose. Le traitement n’est pas miraculeux il faut l’inscrire dans une certaine durée, pour cela demandez conseil à un professionnel de santé, comme un pharmacien spécialisé en phytothérapie.

Depuis quelques années, des études complémentaires et des essais préliminaires avancent que la silymarine, contenue dans le chardon-Marie pourrait lutter contre certains types de cancers ou l’arthrose. D’autres études n’ont pas montré de différences significatives sur ces pathologies.
Néanmoins le pouvoir guérisseur du Chardon-Marie est constaté pour les maladies du foie.
Si vous souhaitez en savoir plus sur les études, les bienfaits et les pathologies associées au chardon, consulez le site chardon marie.

Son mode d’utilisation

Globalement la plante s’utilise soit : dans des décoctions, des infusions, des huiles, des extraits, en capsule, des gélules ou des teintures.
Comme précisé dans la partie bienfaits, le chardon-Marie est utilisé pour différents problèmes de santé. Principalement les problèmes de bile ou de foie, mais également dans d’autres situations.
Selon les maladies, l’usage peut être interne ou externe. Soit donc en ingérant donc le fruit séché (akène), soit en l’appliquant localement pour un usage externe.
Les graines séchées peuvent ainsi être utilisées dans des décoctions ou en teinture. Pour lé décoction, il faut donc utiliser environ 3 grammes de graines insérée dans un peu plus de 100 ml d’eau). La préparation doit être bue environ une demie heure avant le repas, 2 à 3 fois par jour. Pour la teinture, il faut appliquer 1 ml localement avant le repas.
Il existe aussi des extraits normalisés contenant près de 80 % du principe actif du Chardon-Marie –la silymarine).
Le chardon n’est pas à utiliser pour les femmes enceintes ou les femmes allaitant. Il est déconseillé également aux personnes allergiques de l’utiliser.
Demandez conseil à votre médecin ou votre pharmacien. Les pharmaciens spécialisés en phytothérapie pourront vous conseiller efficacement sur l’utilisation de cette plante.

Vitamine D : Fonction, besoins, sources et risques de carences

Les vitamines sont essentielles à notre organisme et notre santé. Notre corps ne sait pas les fabriquer tout seul et elles proviennent de notre alimentation, qui doit donc être équilibrée et variée.
Focus sur une vitamine un peu particulière : la Vitamine D.

A quoi sert la vitamine D ?

La vitamine D joue un rôle essentiel dans la bonne santé des os et des dents ! Elle permet de régulariser le taux de calcium sanguin en améliorant l’absorption intestinale du minéral, tout en minimisant son élimination par l’urine. Elle mobilise le calcium osseux, favorise la consolidation des os et la bonne minéralisation des dents, selon les besoins de l’organisme.
La vitamine D est beaucoup étudiée. Elle pourrait réduire le risque de certains types de cancers comme par exemple le cancer colorectal ou le cancer du sein. Elle est aussi étudiée pour une éventuelle utilisation préventive des maladies.

La vitamine D participe à la bonne santé des individus ! Elle permet d’améliorer la force musculaire, de renforcer le système immunitaire, d’éviter les inflammations. Elle maintient un taux sanguin adéquat de calcium et de phosphate (très important pour la formation, la composition, la croissance mais aussi la réparation des os).

Qu’est-ce que c’est ?

La vitamine D est un ensemble de substances liposolubles (solubles dans les graisses). Elle est aussi considérée comme une pro-hormone liposoluble. Il en existe deux types nécessaires à l’être humain :

  • la vitamine D2 ou l’ergocalciférol : L’ergocalciférol est présent dans l’alimentation. La vitamine est synthétisée naturellement par les plantes. Il s’agit de la forme végétale de la vitamine.
  • la vitamine D3 ou le cholécalciférol : le cholécalciférol est produit par la peau sous l’action des rayons ultraviolets. La vitamine est synthétisée par l’organisme quand la peau est exposée aux rayonnements UV (particulièrement les rayons UVB). C’est pour cela que l’on appelle la vitamine D, la vitamine « Soleil ». Il s’agit de la forme animale de la vitamine

Comment ça marche ?

Donc la vitamine D est à la fois apportée par l’alimentation et synthétisée par l’organisme au niveau de la peau sous l’action des rayons du soleil.
Sous l’effet des rayons UV du soleil, le corps produit le cholécalciférol (vitamine D3). Ce dernier passe ensuite par le foie, puis par le rein et enfin est transformé en calcitriol. Le calcitriol est la forme hormonale mais aussi la forme active de la vitamine (c’est pour cela que la vitamine D est aussi considérée comme une hormone !). Il contrôle de nombreux gênes permettant de réguler la prolifération et différenciation cellulaires, ainsi que la sécrétion d’insuline.

La vitamine D peut s’accumuler dans les graisses et le foie, elle se met « en réserve ». En fonction des besoins de l’organisme, elle est ensuite métabolisée et remise en circulation.

D’où viennent les carences en vitamine D ?

Un individu peut présenter des carences en vitamine D dans plusieurs cas de figures :

  • S’il suit trop scrupuleusement les conseils relatifs au cancer de la peau, en évitant complètement le soleil, en utilisant tout le temps de la crème solaire, entraînant alors une trop faible exposition au soleil,
  • S’il a une maladie causant des troubles d’absorption intestinale comme la mucoviscidose ou la maladie cœliaque par exemple,
  • S’il ne consomme ni viande, ni poisson, ni œufs, ni produits laitiers car ils sont faibles en apport de vitamine D,

Mais aussi…

  • En vieillissant, le corps absorbe et synthétise moins bien la vitamine D,
  • Les enfants alimentés exclusivement au lait maternel,
  • Chez les individus en obésité.

Le rachitisme
Le rachitisme touche les enfants présentant des carences en vitamine D. C’est pour cela que la vitamine D est aussi appelée vitamine antirachitique. Cette maladie entraîne des retards de développement chez l’enfant, aussi bien moteurs que de croissance. L’enfant aura une mauvaise constitution osseuse, présentera des troubles du sommeil. La fontanelle se ferme et se soude difficilement.
Chez l’adulte, on parlera d’ostéomalacie. Il s’agit d’une déminéralisation osseuse. Le malade aura des sensations de brûlures dans la bouche et la gorge, des diarrhées mais il présentera aussi une certaine nervosité.

Où la trouve-t-on ?

La vitamine D est apportée par l’alimentation mais également synthétisée par l’organisme au niveau de la peau sous l’action des rayons du soleil.
Certains aliments sont plus riches en vitamine D que d’autres. Par exemple : la fameuse huile de foie de morue, le saumon (grillé, poché ou en conserve), le thon rouge grillé, le hareng mariné, la truite grillée, etc.
Il existe aussi des compléments alimentaires à base de vitamine D. Ils se présentent sous forme huileuse ou en gélules.

Quand on est en bonne santé, manger diversifié et équilibré suffit pour ne pas avoir besoin de recourir à une supplémentation en vitamine D, sauf dans des situations particulières. Par exemple, une supplémentation peut être prescrite pour les femmes enceintes, pour les personnes souffrant d’infections respiratoires à répétition, pour les personnes souffrant d’ostéoporose…

Et si on en prend trop ?

Si on supplémente trop la vitamine D, cela peut causer divers troubles comme des maux de tête, des nausées, des vomissements, une fatigue intense, une perte de poids… Mais lors d’un excès de vitamine D, cela entraîne aussi un excès de calcium dans le sang (on appelle cela l’hypercalcémie), dans les urines (l’hypercalciurie) et cela favorise les calculs rénaux qui sont à base de d’oxalates de calcium.

La Vitamine D contre la Covid-19 : bon ou mauvais ?

Depuis plusieurs mois, les effets de la vitamine D sont avancés comme permettant à notre organisme de lutter plus efficacement contre le virus de la Covid-19. Mais est-ce vraiment efficace ?

Dans un communiqué, l’Académie Nationale de Médecine rappelle que cette vitamine est essentielle à notre organisme. Elle explique également que sa prescription peut être recommandée, notamment chez les personnes de plus de 60 ans, afin de renforcer le système de défense de l’organisme. En effet, si la vitamine D n’a pas d’effet direct pour soigner la Covid-19, elle peut aider l’organisme à se battre plus efficacement contre. Par exemple, des individus très régulièrement exposés à la vitamine D auraient moins de chances de développer des formes graves de la maladie.

Pour savoir si une supplémentation de vitamine D pourrait vous être bénéfique, demandez conseil à votre médecin. Il pourra alors vous prescrire la prise de vitamine D pendant une période donnée, et vous indiquer la posologie à suivre pour être efficace en évitant tout surdosage.

Un peu d’Histoire…
Au XIXème siècle, durant la Révolution Industrielle, la ville de Londres connaît une importante épidémie de rachitisme.
En 1918, il est démontré que la maladie est due à une carence nutritionnelle. Quelques années plus tard, dans les années 20, l’huile de foie de morue est utilisée pour contrer le rachitisme.
En 1922, le calciférol (la vitamine D) est isolé.
En 1924, deux chercheurs de deux universités américaines découvrent, en même temps, que la lumière du soleil est source de vitamine D expliquant alors l’épidémie de rachitisme de Londres : le smog dense au-dessus de la ville, dû à la Révolution Industrielle, privait les londoniens des UV du soleil.

Après soleil : quel soin réparateur choisir ?

Lors d’une exposition au soleil, votre épiderme est agressé. Si la crème solaire protège votre peau, seul un après-soleil peut l’apaiser, la réparer et la nourrir. Pour choisir un produit efficace, notre parapharmacie Parahabib vous aide à identifier les bons composants. Nous vous conseillons sur les principes actifs et leurs propriétés ainsi que sur les différentes textures en fonction du type de peau apportant un choix varié.

Quel est le rôle d’un après soleil ?

L’application d’un après soleil est primordiale pour prendre soin de sa peau et entretenir son bronzage en nourrissant sa peau au quotidien. Un après soleil est un soin que l’on applique après une exposition prolongée au soleil notamment lorsque votre peau est échauffée. L’objectif de ce soin est de réhydrater la peau et de l’apaiser.
 

À quoi sert-il ?

Un après soleil est le produit à associer à votre protection solaire. En effet, chaque produit a son utilité propre. La crème solaire va protéger la peau et les cellules contre les méfaits du soleil induit par les UVA responsables du vieillissement cutané et les UVB instigateurs des coups de soleil. Une longue exposition fragilise la peau et la dessèche tout comme le chlore ou l’eau de mer.

L’après soleil est un soin réparateur épidermique qui va hydrater la peau tout en l’apaisant, lui apportant une fraîcheur instantanée. Il va permettre également de préserver la couche cornée qui est à la surface de l’épiderme. Ces cellules apportent un épaississement à la peau et servent de barrière de protection. De plus, elles révèlent votre bronzage, c’est pourquoi il est important de les préserver afin de prolonger cette jolie couleur et éviter la desquamation. En effet, le fait de nourrir la peau permet un effet émollient, c’est-à-dire que les actifs vont favoriser la coalition des cellules entre elles pour qu’elles ne se détachent pas de l’épiderme.

D’autres composants peuvent également amener un plus dans la composition d’une crème après-soleil. En effet, certains après-soleils servent également de prolongateur de bronzage. Ils peuvent soit amplifier le hâle de la peau grâce à un actif autobronzant (érythrulose), soit favoriser le bronzage grâce à des précurseurs de mélanine (dérivés de tyrosine, peptide, caroube ou huile de Chaulmoogra).
 Quels sont les principes actifs de l’après soleil ?

Pour une bonne efficacité, un lait après-soleil doit contenir des agents hydratants, des composants nourrissants et émollients et des actifs réparateurs et apaisants. La glycérine est l’agent hydratant le plus souvent présent : elle forme un film occlusif qui empêche l’eau de s’évaporer. Les huiles minérales et la paraffine permettent également d’hydrater la peau. Les agents nourrissants et émollients permettent de reconstituer la couche cornée agressée par le soleil, l’eau de mer ou le chlore. Ils sont présents sous forme d’huiles végétales riches en oméga 3 et 6, de beurre de karité ou d’huile de coco. L’aloe vera, le bisabolol et l’allantoïne sont utilisés dans les après-soleils pour leur effet cicatrisant. Des extraits végétaux de calendula ou de camomille permettent également de réparer la peau.

La vitamine B5 délivre une triple action au produit : stimuler la multiplication cellulaire, calmer les irritations et les démangeaisons, préserver l’élasticité de la peau. Un après-soleil conçu pour le visage devra aussi contenir des antioxydants, comme la vitamine E ou la co-enzyme Q10, pour régénérer la peau et détruire les radicaux libres générés par l’exposition au soleil.
Des céramides et de l’acide hyaluronique permettent d’apporter un confort par leur effet hydratant et émollient.
De plus l’acide hyaluronique favorise la fixation du collagène apportant ainsi de la souplesse et de l’élasticité.
Pour apporter une dose de fraîcheur aux peaux échauffées, un agent rafraîchissant peut être ajouté à la composition de la lotion après-soleil. Le plus souvent, il s’agit d’un dérivé de menthol.
En revanche, la présence de certains composants doit être surveillée. C’est notamment le cas de l’alcool, qui accélère la pénétration du produit, mais dessèche également la peau.
 Les différentes textures d’après soleil

Après avoir vérifié les composants, il ne reste plus qu’à choisir la texture de l’après soleil en fonction de votre peau. Il est conseillé d’utiliser un lait pour les peaux sèches, un gel ou une lotion pour les peaux déshydratées, un soin « oil-free », sans corps gras, pour les peaux grasses et mixtes.
 Crème après soleil

La crème après soleil est une texture très onctueuse qui apporte un confort et une fraîcheur. Elle est destinée aux peaux très sèches de nature ou qui ont subi une longue exposition au soleil et des bains à répétition dans la piscine et dans la mer. On retrouve dans la composition du beurre de karité riche en vitamine A, E et F assouplissant la peau, la nourrissant profondément et lui apportant une protection anti radicalaire.

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